Le roman « Fahrenheit 451 » de Ray Bradbury, rendu célèbre par Truffaut, est évoqué dans la nouvelle œuvre de Sotterraneo, dans laquelle un futur dystopique - l'interdiction de lire - se double d'une véritable nuit de la civilisation, l'autodafé des livres, qui n'est pas sans rappeler celui d'Hitler en mai 1933. Comme dans « Fahrenheit », ce sont les fanatiques d'une politique liberticide qui ont décidé.