« Une personne n'est oubliée que lorsque son nom est oublié. « Chaque année, le jour du souvenir, je fais une réflexion... Je le ressens presque comme un devoir moral, et ainsi, chaque 27 janvier, j'aime à penser que je contribue moi aussi à ouvrir en grand les portes d'Auschwitz et à libérer un survivant de l'Holocauste pour chaque pensée que je réserve à ses souffrances... ». Pasquale Savarese